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Bien que les métiers de l'ostréiculture offrent une proximité privilégiée avec la mer, ce qui les rend particulièrement attrayants pour ceux qui préfèrent travailler en plein air, ils ne sont pas sans risques. En effet, les taux d'accidents du travail et de maladies professionnelles dans ce secteur sont parmi les plus préoccupants parmi les activités maritimes.
La manipulation des cages à huîtres, la récolte, le travail sur les plates-formes flottantes, la manutention d'équipements lourds, ainsi que les gestes répétitifs tels que le tri des huîtres, sont autant d'activités qui exposent les travailleurs de l'ostréiculture au risque de développer des troubles musculo-squelettiques (TMS).
Il est essentiel pour les ostréiculteurs de prendre des mesures préventives telles que l'utilisation d'équipements ergonomiques.
Les ostréiculteurs doivent faire face à des risques d'accident, dont certains peuvent avoir des répercussions significatives, particulièrement :
1 - TMS des membres supérieurs : Les gestes répétitifs, comme la manipulation des cages à huîtres, la récolte et l'utilisation d'outils, peuvent entraîner des TMS au niveau des épaules, des bras et des mains.
2 - TMS du dos : Les activités telles que le travail sur les plates-formes flottantes en position courbée, la manipulation de charges lourdes comme les cages à huîtres et les équipements, ainsi que le travail prolongé en position debout ou penchée peuvent causer des TMS au niveau du dos.
3 - TMS des membres inférieurs : La marche sur des surfaces irrégulières, la manutention de charges lourdes et le travail sur les plates-formes peuvent augmenter le risque de TMS au niveau des jambes, des genoux et des pieds.
4 - TMS du cou : Les postures prolongées, comme le maintien de la tête dans une position inclinée pendant la récolte ou le tri des huîtres, peuvent provoquer des TMS au niveau du cou et des cervicales.
5 - Fatigue générale et stress musculaire : Les conditions de travail exigeantes et la répétition des mouvements peuvent entraîner une fatigue musculaire généralisée et un stress sur l'ensemble du corps, augmentant ainsi le risque de TMS.
Les troubles musculosquelettiques (TMS) sont des maladies qui touchent les articulations, les muscles et les tendons en raison notamment d’une sur sollicitation biomécanique.
Compte tenu de leur forte prévalence (ils représentent 87% des maladies professionnelles en France) et de leurs impacts tant pour les salariés (séquelles…) que pour les entreprises (absentéisme, baisse de productivité, cotisations Assurance Maladie…), il est nécessaire de mettre en place des actions concrètes pour y remédier.
Parmi celles-ci, il est possible de se tourner vers les exosquelettes.
Les ostréiculteurs doivent faire face à des risques d'accident, dont certains peuvent avoir des répercussions significatives, particulièrement :
1 - TMS des membres supérieurs : Les gestes répétitifs, comme la manipulation des cages à huîtres, la récolte et l'utilisation d'outils, peuvent entraîner des TMS au niveau des épaules, des bras et des mains.
2 - TMS du dos : Les activités telles que le travail sur les plates-formes flottantes en position courbée, la manipulation de charges lourdes comme les cages à huîtres et les équipements, ainsi que le travail prolongé en position debout ou penchée peuvent causer des TMS au niveau du dos.
3 - TMS des membres inférieurs : La marche sur des surfaces irrégulières, la manutention de charges lourdes et le travail sur les plates-formes peuvent augmenter le risque de TMS au niveau des jambes, des genoux et des pieds.
4 - TMS du cou : Les postures prolongées, comme le maintien de la tête dans une position inclinée pendant la récolte ou le tri des huîtres, peuvent provoquer des TMS au niveau du cou et des cervicales.
5 - Fatigue générale et stress musculaire : Les conditions de travail exigeantes et la répétition des mouvements peuvent entraîner une fatigue musculaire généralisée et un stress sur l'ensemble du corps, augmentant ainsi le risque de TMS.
Les Dispositifs d’Assistance Physique (DAP) de type exosquelettes sont des solutions ergonomiques qui, comme leur nom l’indique, visent à réduire les sollicitations biomécaniques des travailleurs.
Portés sur le corps comme un sac à dos, ces exosquelettes sont totalement passifs (pas de moteurs, vérins ou autre électronique) et fonctionnent grâce à un principe de stockage-restitution d’énergie grâce à des ressorts en matériaux composites.
Concrètement, les exosquelettes développés par ErgoSanté permettent de faciliter le travail, réduire la fatigue, préserver la santé et maintenir dans l’emploi.
Le HAPO SD (Sans Déverrouillage) est le dispositif d’assistance physique passif le plus simple et robuste de la gamme HAPO. À la fois léger (0,9 kg) et discret, le HAPO SD a été conçu pour rediriger partiellement les efforts du haut du tronc (par un appui pectoral), vers les cuisses.
Fonctionnant à l’aide de tiges-ressorts en matériau composite, le HAPO SD réduit la charge physique lombaire des travailleurs et permet ainsi de préserver les disques intervertébraux.
Les situations optimales pour l'utilisation de l'exosquelette HAPO SD sont celles nécessitant une flexion complète du tronc au sol, en statique ou dynamique.
Lors de tests réalisés en laboratoire, il a été montré que, comparé à une situation sans exosquelette, le HAPO SD permettait de réduire environ -11 % la sollicitation des muscles du dos.
Le HAPO est un dispositif d’assistance physique passif fonctionnant à l’aide de tiges-ressorts en matériau composite qui permet un transfert partiel des efforts du haut du tronc (par un appui pectoral), vers les cuisses.
À la fois léger (1,2 kg) et discret, le HAPO a été conçu pour aider les travailleurs à réduire la charge physique lombaire et ainsi préserver les disques intervertébraux.
Les situations optimales pour l'utilisation de l'exosquelette HAPO sont celles qui nécessitent une posture "penché en avant" lors de tâches statiques ou dynamiques.
Utilisable aussi bien en extérieur qu’en intérieur, le HAPO a la particularité d’être débrayable de telle sorte à pouvoir s’assoir dans un engin ou monter des escaliers sans gêne et en toute sécurité.
Lors de tests réalisés en laboratoire, il a été montré que, comparé à une situation sans exosquelette, le HAPO permettait de réduire environ -20 % la sollicitation des muscles du dos.